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  • Le Mystère de l’Écriture Inclusive

    Le Mystère de l’Écriture Inclusive

     

    Donc, depuis que j’entends parler de l’écriture inclusive… (je veux dire : ces temps-ci dans les médias en France, sous cette appellation précise – sinon je suis familier avec le concept depuis une bonne vingtaine d’annéesvoire plus, bref depuis que j’ai commencé à m’approcher du bilinguisme en anglais)…. Depuis que j’entends parler de l’écriture inclusive, disais-je donc, la chose m’intrigue. Pas tant la chose en elle-même (j’ai une opinion assez mouvante sur la chose en fait, à la base, je n’ai rien contre le concept tant qu’il est utilisé intelligemment, mais le résultat actuel, avec cett.e nouv.eau.elle mani.e de mettr.e des point.s partout me sort vraiment par les trous de nez et me donne envie de mettre des claques à des gens)…

    Non, ce qui m’intrigue, c’est le fait que ce soit devenu si soudainement un fait de société qui a pris une telle ampleur qu’il est débattu jusque dans les plus hautes strates du gouvernement.

    Je veux dire, la France est assez spécialiste de ce phénomène : un truc qui existe depuis des décennies, mais qui est relativement inconnu ou périphérique se retrouve soudain sous les projecteurs des médias ; un effet boule de neige apparaît (un média en parle, l’autre ne veut pas être en reste, ni le troisième, ni le quatrième, ni votre voisin, ni sa belle-mère, ni le premier ministre) et soudain le terme est sur toutes les langues. La chose fait toujours grand débat, la plupart des gens a une opinion bien tranchée sur la chose, surtout ceux qui n’en comprennent que peu les tenants et les aboutissants. Et on en discute, débat, s’engueule jusqu’à plus soif, et jusqu’au prochain sujet subissant le même sort et permettant d’oublier jusqu’à l’existence du sujet précédent.

    Bref, rien de nouveau sous le soleil, mais là, je sais pas, ça m’intrigue un peu plus que d’habitude… Peut-être parce que la linguistique est un sujet qui m’intéresse plus que d’autres, je ne sais pas… Il doit y avoir de ça. En gros, je me demandais qui était l’imbécil.e qui avait eu l’idé.e de cette nouve.au.elle graphi.e imbitable. Mais pas seulement… Le terme lui-même « écriture inclusive » m’intrigue en fait.

    Peut-être parce que je ne peux m’empêcher de faire le parallèle avec un autre débat similaire d’il y a peu. Celui sur la théorie du genre. Je m’explique.
    Le terme « théorie du genre » (traduction française de gender theory) est une expression assez courante dans les sciences humaines et autres cercles plus ou moins universitaires. Bref, il s’agissait d’une forme de jargon bien connu d’un certain nombre, mais inconnu du grand public qui s’est soudain retrouvé propulsé sur le devant de la scène et dans le langage courant avec les conséquences que l’on connaît quand les gens commencent à s’emparer du terme sans en maîtriser le concept.

    Mais ici, ce terme d’écriture inclusive a une origine différente. Voyez-vous le terme jargonneux décrivant la chose, c’est langage épicène pas écriture inclusive.

    Au début je pensais naïvement que cette histoire avait pour source des linguistes féministes. Ça semble évident. Mais si cela avait été le cas, n’auraient-ils pas choisi le terme correct et reconnu par le champ d’études en question ? Peut-être étaient-ils plus féministes que linguistes ? Et l’exactitude de l’appellation ne les intéressait que peu pour une raison ou une autre. Oui, il y a de ça aussi, ce point en milieu de mot qui me donne de l’urticaire, je vois mal un linguiste digne de ce nom préconiser la chose, même au nom de l’égalité des sexes.

    C’est le truc qui m’interpelle le plus dans cette « écriture inclusive », toute la chose est vraiment très bancale d’un point de vue linguistique. Et d’ailleurs, pourquoi n’est-il question que d’écriture ? Pourquoi pas « langage inclusif » ? Car, au-delà de la stupidité d’insérer de la ponctuation au milieu des mots, le plus gros problème de cette écriture inclusive, c’est qu’elle est illisible, dans le sens que la plupart des termes et adjectifs écrits selon ses « règles » ne peuvent tout simplement pas être lus à haute voix. Elle accentue encore plus la distance entre la langue écrite et la langue parlée, comme si le français avait besoin de ça. On peut aussi mentionner le fait que ne pas sembler savoir que le genre grammatical n’a pas de lien avec le genre extra-linguistique va décrédibiliser votre discours auprès de ceux qui y connaissent un peu quelque chose. Il y a toutes sortes d’autres problèmes, d’autres en ont parlé ici ou là : j’aime beaucoup l’avis de l’Odieux Connard sur la chose, il y en a d’autres… Je posterai les liens sur ma page Facebook et mon compte Twitter si ça vous intéresse.

     

    Bref, de plus en plus intrigué, j’ai décidé qu’il était temps de remonter aux sources de la chose et j’ai essayé de savoir d’où provient cette fameuse écriture inclusive. Je précise bien, celle dont tout le monde parle aujourd’hui, car des langages épicènes, il n’y en a pas qu’un, et il existe de nombreuses façons plus ou moins bienvenues de créer une langue plus neutre, contrairement à ce que les médias et d’autres laissent parfois sous-entendre. Ces points moches ne sont pas la seule façon, loin de là… Mais c’est probablement une des pires.

    Et sauf erreur de ma part, la source de tout cela semblerait être un certain Manuel d’Écriture Inclusive, disponible en téléchargement ici ou là. Mais – et c’est là que les choses commencent à devenir bizarre – difficile de lui trouver un ou des auteurs explicites à ce manuel. Par contre ce qui n’est pas difficile à trouver, c’est le fait que ce manuel soit issu d’une agence nommée Mots-Clés. Une agence de linguistes ? Pas sûr qu’une telle chose existe. Une agence de féministes ? Mouais, non plus… Non, non, une agence de communication. Vous savez, ce qu’on appelle familièrement une boîte de com’

    Oui, c’est donc une boîte de com’ qui est derrière tout ça !

    Perso, chapeau, ils ont super bien fait leur boulot et la concurrence doit être très jalouse, vu comment on ne parle plus que de leur slogan ces jours-ci. Car il faut se rendre à l’évidence, ce terme écriture inclusive c’est un slogan, et effectivement, c’est carrément plus vendeur que langage épicène (pas très porteur comme appellation, limite un peu anxiogène le truc, ça renvoie à l’éducation, l’intelligence, la réflexion, les gens ne veulent pas de ça de nos jours).

    Bon, une partie du mystère est éclaircie, mais il en reste encore quelques pans à essayer de dévoiler. Une agence de com’ ça vend des trucs, des gens, quelque chose.
    Là, ils essaient de vendre quoi exactement ? Plus d’égalité entre les hommes et les femmes ? Ce serait beau, mais ne soyons pas trop naïfs quand même, il y a pas trop de bénéf à tirer de la chose. Il y a pas trop de pognon à se faire non plus. Donc, ça doit être autre chose, mais quoi ?

    C’est là, que je me penche sur l’identité du directeur de cette agence, seul nom à apparaître sur le site « officiel » de l’écriture inclusive (ouais, elle a même un site, je ne mets pas de lien ici, mais une recherche google vous le dénichera tout de suite). En fait, il n’est pas impossible qu’il soit le seul et unique auteur de ce Manuel d’Écriture Inclusive. Il s’agit d’un certain Raphaël Haddad.

    À noter qu’il est très intéressant comment le nom n’est jamais mis en avant nulle part, mais qu’il n’est pas caché non plus. En général, c’est tout l’un ou tout l’autre.

    Et ce nom ne m’était pas totalement inconnu, mais je n’arrivais pas non plus à trop cerner de qui il s’agissait.

    Une autre recherche Google m’en apprendra un peu plus sur lui (sans être une célébrité, son nom apparaît beaucoup en signatures de pas mal d’articles de journaux de type Libé ou Huffington Post (que l’on peut qualifier de centre-gauche ? D’ex-gauche ? De fausse-gauche oligarchique ?).

    Un résultat en particulier me fait lever le sourcil. Il est collaborateur régulier de la revue La Règle du Jeu !

    Si vous ne connaissez pas (vous avez de la chance), sachez qu’il s’agit de la revue de notre cher et irremplaçable Bernard-Henri Levy

    Et là, je commence à me demander, vu comment ça prend de l’ampleur dans les médias, et même et surtout du côté du gouvernement, cette histoire d’écriture inclusive… Ce monsieur Haddad ne se serait-il pas inspiré de son illustre maître à « penser » et ne serait-il pas en train d’essayer de marcher dans ses pas ? Cette opération de com’ – car ça en est une – ne servirait-elle tout simplement pas à permettre à Raphaël Haddad de gagner ses entrées dans les divers cabinets, salons ou je ne sais quoi dans le but de, par exemple, devenir l’ami et l’infuenceur des puissants, comme peuvent l’être l’entarté le plus célèbre de France ou bien un Jacques Attali moins médiatique, mais peut-être bien plus puissant ?

    Beaucoup de suppositions ici, je le reconnais, mais quand on pense que quelque chose ne tourne pas rond et qu’on trouve quelque chose de potentiellement douteux derrière… Hmmm…
    Honnêtement, je n’aime pas du tout devoir en rester au stade des suppositions, j’ai l’impression de parler comme un conspirationniste… Et ce n’est aucunement mon intention. J’aimerais pouvoir aller au fond de la chose, mais mon « enquête » (peut-on appeler ça une enquête ? un peu de lecture et deux recherches google ?) devra pour l’instant s’arrêter là.

    Mais je vais quand même continuer à suivre cette histoire du coin de l’œil pour voir où elle mène si elle mène quelque part. Et surtout voir où elle mène ce M. Haddad aussi… Vous étonnez pas si dans les mois à venir, il commence à devenir de plus en plus médiatique et célèbre.

    Bon, j’ai été assez long comme ça, je vais vous laisser avec un slogan qu’il semble aimer répéter (sur son site, sur Twitter, etc.) :

    Le discours n’est pas un instrument de l’influence ; c’est le lieu de l’influence. »

    Il n’a pas tort, loin de là, mais mis en parallèle avec cette histoire d’écriture inclusive, j’y trouve des connotations peu ragoutantes.

     

     

     

  • Hommage à Uri Geller

    Hommage à Uri Geller

     

    Hommage à Uri Geller

     

    Trouvé pour trois francs six sous ce tour de magie qui fait se tordre les cuillères. Je me voyais déjà en train de devenir le nouveau Uri Geller, mais le tout s’est révélé être assez foireux en fait… Ah ben, comme Uri Geller, donc tout va bien.

     

    (je ne sais pas si les moins de trente ans pourront saisir la substantifique moelle de ce post très dispensable)

     

     

  • Gribouillages

    Gribouillages

     

    gribouillages

     

    Qu’est-ce donc ?

    Des vers de terre ? Des spaghettis ? Des cordelettes ?

    Les trois à la fois bien sûr !

     

     

  • Porno de Scarabées

    Porno de Scarabées

     

    Donc, il y a quelques jours un échange de femelles scarabées a été fait (comme j’y faisais allusion précédemment) et la nouvelle femelle a été introduite dans le grand terrarium en compagnie de mon mâle.

    À peine quelques heures plus tard, je tombais sur ça :

     

    Porno Scarabées - 1
    Vu de « dehors »

     

    Porno Scarabées - 2

     

    Porno Scarabées - 3
    Gros plan

     

    Il semblerait donc que la lignée va se continuer (d’ailleurs, il va falloir que j’aille à la pêche aux larves d’ici peu – genre demain ou après-demain – avant qu’il n’y en ait trop.

     

     

  • Vision d’Horreur !

    Vision d’Horreur !

     

    Ce soir, en rentrant du travail je suis tombé sur Monsieur Loup, mort, pendu au ventilateur !!!

     

    Monsieur Loup Pendu

     

    J’ai d’abord cru à un suicide, mais le sourire en coin de ma fille de trois ans m’inquiète. Et si elle l’avait assassiné et maquillé son crime par la suite ?

     

     

     

  • Faisez Gaffe aux Scarabées Bourrés

    Faisez Gaffe aux Scarabées Bourrés

     

    Il m’arrive parfois de retrouver mes scarabées endormis dans leur nourriture :

     

    Scarabée Mâle Bourré

     

    J’avais déjà lu, je ne sais plus où que ça pouvait arriver…

    Mais quelque chose ne me semblait pas clair dans cette histoire. Voyez-vous, je les retrouve souvent ainsi en début de soirée. Or, les scarabées sont essentiellement nocturnes. Donc sur les coups de 22-23 heures, c’est un peu le début de leur journée, quand ils devraient être bien actifs. De plus, les jours où il fait assez chaud, leur gelée (qui est composée à peu près exclusivement d’eau et de sucre – et aussi de gélatine je suppose) a parfois une odeur un peu « bizarre ».

    Bref, vous voyez où je veux en venir… S’ils dorment ainsi affalés dans leur nourriture, c’est pas une sorte de narcolepsie mystérieuse, mais parce qu’ils sont ivres morts après avoir mangé la pellicule d’alcool qui s’est formée à la surface de leur gelée pendant la journée…

     

    Scarabée Femelle Bourrée

     

    Bon, je ne sais pas si c’est vraiment ça, mais pour moi, ça se tient.

     

    Sinon les dernières nouvelles de chez mes coléoptères :

    • Le scarabée handicapé est mort il y a quelques jours. Sa jambe et ses ailes n’étaient les seules choses qui ne tournaient pas rond chez lui. Il n’avait jamais vraiment réussi à se nourrir et j’imagine que dans ses organes internes ça devait être un beau bordel aussi. Il a fini dans mon cimetière à scarabées, c’est-à-dire que j’ai posé son corps sans vie au bord de la rizière près de chez moi, et il aura fini dans l’estomac de l’oiseau le plus rapide.
    • Le mâle que j’ai choisi pour être mon reproducteur m’a agressé sexuellement ! Vous savez quand le caniche de votre vieille tante s’agrippe à votre jambe pour satisfaire ses tensions sexuelles ? Eh bien, il a fait pareil avec mon index l’autre jour.
    • Mais qu’il se rassure, dans deux jours, nous allons dire adieu à sa sœur (en photo ci-dessus) qui sera remplacée par une autre femelle avec qui il n’a pas de liens familiaux et avec qui il pourra s’accoupler aussi sauvagement qu’il le souhaitera (ou qu’elle le laissera faire, mais les malheureuses n’ont pas trop leur mot à dire en général).

     

     

     

  • Les Scarabées de l’Année sont Nés

    Les Scarabées de l’Année sont Nés

     

    Bon, je suis bien silencieux ces temps-ci. Le fait est que l’actu me déprime plus qu’autre chose en ce moment, et faire Manuel Valls en Darth Vader, c’est déjà fait, je ne voudrais pas copier sur mes collègues. Pendant un instant, j’ai pensé vous faire part de mes pensées et mes théories à propos de Game of Thrones, mais bon tout le monde le fait alors…

    Alors, si je vous parlais de scarabées rhinocéros japonais plutôt ?

    Donc je vous avais laissé pendant plusieurs mois sans nouvelles de mes créatures. Depuis septembre, j’ai donc trouvé des « repreneurs » pour la plupart des larves (rappelez-vous, il y en avait une vingtaine environ) et je n’en avais gardé que quatre. Le mâle est mort de sa belle mort au cours du mois de septembre. Les quatre larves scarabées ont passé la fin de l’été et l’automne à bouffer (de la terre), l’hiver à hiberner, et le début du printemps à bouffer de nouveau puis à construire des cocons.

    J’avais pensé documenter la dernière phase de leur vie de larve (parce que le reste c’est quand même pas super passionnant, surtout qu’elles ne se baladent pas en se pavanant : elles restent dans la terre à peu près tout le temps, si elles en sortent c’est qu’il y a un problème), mais je fus pris de cours, les chrysalides ont éclos il y a trois semaines environ.

    Au début les adultes (on dit « imago ») restent dans la terre un moment. Les mâles se sont creusés des « chambres » dans laquelle ils glandent sans rien faire jusqu’à ce que l’envie de sortir leur prennent (des ados quoi), les femelles se baladent sous-terre. Du moins c’était le cas de la mienne : si j’avais rapidement repéré les mâles à peine sortis de leurs chrysalides (en fait je pensais qu’ils y étaient encore, et c’est en cherchant que je suis tombé nez à nez sur les adultes planqués dans leurs chambres), il m’a fallu un bon moment pour trouver la femelle, d’ailleurs, je m’inquiétais un peu, j’avais trouvé la peau de la larve, des restes de chrysalides et c’est tout.

    Donc, voila, les quatre larves sont devenues trois mâles et une femelle, donc j’ai quatre terrariums à gérer. Les trois mâles sont séparés pour ne pas qu’ils se foutent sur la gueule. La femelle pour ne pas qu’elle se fasse attraper, brutaliser et violer par son compagnon de terrarium. Je vous rappelle que c’est le triste lot des femelles scarabées, et comme je voudrais éviter la consanguinité, j’attends que les scarabées de mon coach soient nés (et que nous trouvions le temps de nous voir) pour pratiquer à un échange de femelles (à qui nous réservons le même triste sort).

    Un petit problème par contre, l’un des mâles est « handicapé ». Je ne m’étais pas posé la question, mais apparemment la transformation de la larve en imago ne se déroule pas toujours bien et certains adultes ne sont pas toujours en bon état.

     

    Scarabee Femelle - juin 2015

    La femme qui a une bonne petite bouille. Dommage que je doive bientôt m’en séparer, et que je ne la vois pas souvent car elle passe ses journées sous terre et ne sort que tard le soir. Intéressant de voir que si sa mère était en général d’un tempérament assez calme, celle-ci est assez énergique : dès qu’elle sort de terre, elle bouge dans tous les sens dans sa boîte, et elle essaie même assez souvent de s’envoler.

     

    Scarabee Male - juin 2015

    L’un des deux mâles (ils se ressemblent comme deux gouttes d’eau). Même si on ne peut pas parler de personnalité pour des scarabées rhinocéros, intéressant de voir qu’ils ont des tempéraments assez différent l’un de l’autre.
    L’un des deux est très actif, mange énormément (il vide sa coupelle de gelée toutes les nuits), n’est pas peureux : s’il n’aime pas trop la lumière ma présence ne le dérange pas.
    L’autre est très calme, passe la plus grande partie de son temps planqué sous des morceaux de bois ou sous des feuilles mortes, ne mange que très peu (au point que je m’inquiète de sa santé), et a assez peur de moi.

    L’actif sera mon « étalon » qui perpétuera la lignée (ne serait-ce que parce que je ne suis pas totalement certain de la santé de l’autre.

    Finalement, le scarabée mal fichu :

     

     

    Comme vous le voyez, ses ailes ne se replient pas sous leurs élytres (et sont toutes sèches), sa carapace est un peu tordue ici ou là, et comme vous pouvez le voir, une de ses pattes fut restée coincée dans la chrysalide pendant plusieurs jours. Quand les restes de la chrysalide sont enfin tombés, sa patte est restée non-fonctionnelle. De plus, il ne mange presque pas (moins que son frère ascète), j’ai l’impression qu’il y a un problème avec sa bouche, et je pense qu’il est en train de vivre ses derniers jours (il ne cesse de se retourner – et est incapable de se remettre à l’endroit tout seul, ce qui l’épuise et ce qui n’est pas bon signe, c’était un des symptômes que la fin était proche pour ses parents.

     

    Voila, c’est tout pour aujourd’hui.

     

     

     

  • Vodka sans Alcool

    Vodka sans Alcool

     

    Vodka sans alcool

     

    Tiens, j’ai récemment retrouvé au fond de mon disque dur tout un tas de photos cons, marrantes, parfois intéressantes. Ce serait bête de ne pas les partager avec vous et de ne pas repolluer le web avec ça (vu que c’est là que je les y ai trouvé la première fois, il y a plus de 10 ans pour certaines).

    Enjoy… ou pas…