• Un Burger savoyard beige

    Je suis allée déjeuner avec l’Ange au RED d’Hippo à la Défense. C’est le fast food classe de Hippopotamus.

    Le menu est simple et on commande en faisant la queue. J’aime bien. J’ai demandé un Burger Charolais Savoyard à point. J’ai donc reçu un burger avec du fromage de Savoie fondu.

    Première impression : Visuellement mon burger est tout triste. Il n’y a aucune couleur, pas de salade, pas de tomates… juste du marron et du beige.

    Seconde sensation : Le chaud. Le pain très bien grillé et bien chaud et bon.

    Ensuite :

    La viande est bonne mais ne me laisse pas un souvenir impérissable. En revanche, le fromage fondu est excellent.  Il y a des oignons revenus dans ce burger (encore une déclinaison de marron/beige). Je le sais car je les ai vu, et non senti au goût.

    Frites : R.A.S. Elles sont normales.

    Burger à 14,50 euros.

    Comme sa teinte beige, ce burger ne m’a pas fait grande impression, et puis il est un peu cher.

     

    Ceci n’est pas une archive 🙂


  • La Quête du Burger Ultime – épisode 4

    Comme prévu je suis allée au Moose situé rue des quatre vents dans le sixième.

    Comme prévu j’ai commandé un cheese burger.

    Comme presque prévu j’ai commandé des wings en apéro. Et oui ! je suis rarement raisonnable quand il s’agit de gourmandise et de toute façon : « le gras c’est la vie » – Karadoc l’an 400 de Kaamelott.

    Note à ceux qui ont peur pour mon taux de cholestérol : Rassurez-vous, j’ai partagé avec le Gator.

     

    J’aime le Moose. Avec le Harry’s c’est mon bar préféré dans la categorie « ambiance nord-américaine » (note de 2011., le Harry’s n’est plus un de mes bars préférés).

    Ce soir, le programme sportif sur les chaînes de télé câblée c’était :
    – championnat de fléchettes, jusque là tout va bien…
    – championnat de pêche en eaux vives !!! C’est un poil plus exotique.
    Comme souvent, les conversations au tables voisines étaient en anglais, ou alors nous avons eu droit aux dialogues classiques d’expats-USA sur « montre-moi ton Visa et je te montrerai le mien » et  » mon Visa est plus puissant que le tien ».
    La musique rock est toujours bien au Moose mais à certain point le tout est devenu trop bruyant et nous sommes allés ailleurs.

    C’est bien beau tout ça mais.. Le burger?

    Dans mes souvenirs pré-quête, le burger du Moose était mon number One. Après analyse, le cheese burger (12,50€) reste dans un peloton de tête mais le pain (très bon et très bien grillé) est trop épais et prends le dessus sur la viande. Il est accompagné de frites épaisses, de pickles et de coleslaw.
    Nos envies de « moins bruyant » et cocktails nous ont mené au Prescription Cocktail Club où le menu propose des mini burgers… Encore une bien belle aventure en perspective.

     

    Publié le 26 juillet 2010 sur les vies de Fyly


  • Manara est un sacré coquin…

     

    Oui bon, avec ce titre, je ne vous apprends rien… C’est pas avec de la pudibonderie que Milo Manara s’est rendu célèbre.

    Mais récemment, je suis tombé sur une de ses dernières œuvres en date, et dedans, il surprend.

    Je m’explique.

    Cette œuvre-là s’appelle X-Women (X-Men: Ragazze in Fuga en italien, puisqu’apparemment il aurait été originellement publié en Italie, pas aux États-Unis)…

    Oui, vous avez bien compris, il s’agit d’un one-shot co-publié par Marvel & Panini ! Il fut réalisé en collaboration avec Chris Claremont

    Au début j’étais assez hésitant à l’acheter : les meilleures années de Claremont sont loin derrière lui, il y avait de grandes chances de perdre mon temps à la lecture de la chose, et le seul intérêt de ce bouquin – si intérêt il y avait – serait de voir Manara dessiner les X-Men pour voir ce qu’il allait en faire.

    La curiosité fut la plus forte, il me fallut absolument savoir.

    La première chose à noter, comme le titre l’indique, c’est que tous les mâles de notre groupe de super héros préférés ont été évacués de cette histoire avant même la première planche.

    Oh la la, les femmes des X-Men entre elles ? Dessinées par Manara? Marvel se mettrait donc à la BD érotique, juste quand ils viennent d’être rachetés par Disney ?!?

    Bien sûr que non. Même si Marvel a viré le Comic Code Authority il y a plusieurs années, c’est pas demain qu’on y verra du sexe ni même de la nudité. Marvel, ça reste (et restera toujours ?) de la BD mainstream américaine quand même.

    Et c’est là que je dis que Manara est un coquin, car malgré ce carcan très limitant pour lui, son esprit est bel et bien omniprésent dans l’ouvrage. Comment fait-il donc, à ne pas pouvoir déshabiller nos héroïnes préférées, encore moins leur faire avoir des relations charnelles ? Eh bien, il fait comme à chaque fois qu’un artiste est confronté à une censure : il suggère, il contourne et il laisse notre imagination faire le reste.

    Le résultat est aussi amusant qu’étonnant puisque nous nous retrouvons donc avec toute une séries de planches faisant penser à un avant-goût de ce qu’il va se passer, des préliminaires quoi, mais cela ne va jamais plus loin, sauf dans l’esprit du lecteur, un sacré petit cochon lui aussi.

    Quelques exemples :

     

    Manara X-Women

     

    Manara X-Women

     

    Manara X-Women

     

    Manara X-Women
    Oui, oui, vous voyez bien ce que vous croyez voir dans la case de gauche.

     

    Manara X-Women
    No comment…

     

    Manara X-Women

     

    Manara X-Women
    Étrangement, Kitty « Shadowcat » Pryde dessinée par Manara me fait penser à la serveuse d’un pub que je fréquentais dans le temps. Je pense qu’il s’agit d’une coïncidence. 😉

     

    Manara X-Women

     

    Notez que Psylocke est censée être asiatique depuis un sacré moment chez Marvel (une sombre histoire compliquée de transfert d’esprit d’un corps à l’autre) et pourtant c’est la première fois que je vois un dessinateur la dessiner réellement asiatique.

     

    Manara X-Women

     

    Manara X-Women

     

    Voila. En espérant que ni Marvel, ni Panini ne me fasse de procès s’ils tombent sur ça.

     


  • Histoire de chienne

    Dans le couloir, une discussion animée prend place. C’est de la plus haute importance stratégique.

    Jugez vous même :

    – « Tu me traites comme un chien » hurle Brenda.
    – « Non, TU me traites comme un chien » réponds Ginette sur le même ton.

     

     


  • La Quête du Burger Ultime – épisode 3

    La Quête du Burger Ultime : c’est un sale boulot et faut bien que quelqu’un le fasse

    Ou comment, je ne suis pas mes propres préceptes.

    Ou, ou comment je suis une héroïne-fille extrêmement gourmande.

    Hier j’ai gouté un burger au Bistrot 1, rue de l’école de médecine dans le 6ème arrondissement et je remet ça ce soir en allant au Moose…
    C’est une quête bien dangereuse que celle qui m’incombe de réussir (comprendre : prise de poids). Heureusement qu’il m’arrive parfois de courir à travers champs pour laisser s’envoler le stress que me procure une telle responsabilité (comprendre : se débarrasser des calories…)

    La question que tout le monde doit maintenant se poser est « Fyly a-t-elle découvert le burger ultime hier? ».

    Non.

    La réponse est claire, nette et sans appel. C’est non. Pourtant je partais avec un apriori positif, le Bistrot1 étant l’une de mes petites brasseries favorites.

    « Pourquoi un tel non franc et catégorique ? » te demandes-tu rare lecteur.
    C’est simple et voici une démonstration en 3 points :

    • Un pain sans intérêt : fade, mou, pas grillé. Il n’avait rien pour lui.
    •  Une viande pas copieuse, pas grillée (encore), fade (encore!)
    • Une pauvre tranche de salade flétrie par le steak.

    Point positif : les petits oignons grillés (ha tout de même quelque chose de grillé!) mais… peu présent…

    C’est ma première grosse déception.

    Mais, haut les cœurs, positivons ! A nous deux le Moose ! A moi les Bacon cheese burger ! Et peut être même … A moi les wings ? Qui sait…

    PS : Burger à 11,50 €

    Publié le 23 juillet 2010 sur les vies de Fyly


  • The Walking Dead

     

    Je dois l’avouer, depuis la fin de Lost l’an dernier, je suis en deuil. Depuis (même avant sa fin en fait) je suis à la recherche d’un remplaçant pour cette série qui fut pour moi la meilleure chose que j’ai vu à la TV (avec Friday Night Lights dont je vous parlerai un autre jour et bien avant, Twin Peaks que l’on ne présente plus) – si vous n’êtes pas d’accord, pas la peine d’en discuter, vous avez tort.

    Je dois avouer que je n’ai pas eu de chance dans mes recherches.

    Tout d’abord, dès l’an dernier il y a eu FlashForward qui partait d’une idée géniale (je pèse mes mots) et qui a fait pschitt en se transformant en vague série policière avec un vague soupçon de conspirations et de SF dedans. Bref, un des plus beaux gâchis de la télé de ces dernières années.

    Ensuite, il y a eu plus récemment The Event. Premier épisode vraiment prenant, et depuis ? Depuis super bof, trop d’action, trop de “cliffhangers à gros sabots”, trop de flashbacks essayant de mal copier Lost, et je me suis lassé plus rapidement que n’importe quelle autre série que j’ai tenté de regarder sans succès. J’ai dû m’arrêter au 7e ou 8e épisode.

    Le reboot de V? Il vaut mieux ne pas en parler, je risquerai de me fâcher.

    Et puis, presque par hasard, à l’automne dernier, le joyau est sorti de là où on ne l’attendait pas (comme c’est souvent le cas d’ailleurs), je veux parler de The Walking Dead !

     

     

     

    Pour ceux qui ne le savent pas encore, The Walking Dead c’est l’adaptation d’une bande dessinée de Robert Kirkman publiée chez Image Comics. Avant d’aller plus loin, un petit aparté : je suis régulièrement assez surpris que l’on adapte toujours les comics en films et presque jamais en séries télévisés, alors que cela me semble le format “naturel” d’adaptation en œuvre audio-visuelle. Certainement encore un manque de créativité et d’imagination de la part de la plupart des studios. Peut-être que The Walking Dead va créer des émules. Fin de l’aparté.

    Et sinon de quoi ça parle ?

    Si vous avez la moindre bribe d’anglais en vous, vous vous doutez déjà qu’il y est question de morts qui marchent.

    Ce n’est pas une métaphore. Il s’agit bel et bien d’une histoire de zombies !

    Non, ne partez pas tout de suite…

    Moi non plus je n’aime pas vraiment les films de zombies. À l’exception toutefois de Shaun of the Dead. On ne peut pas ne pas aimer Shaun of the Dead. Par contre, peut-on vraiment le considérer comme un film de zombies ?

    Ce qui m’agace le plus dans les films de zombies, c’est qu’en général le concept et la métaphore sont intéressants (enfin surtout quand il s’agit des films de George Romero) : critique de la société de consommation, du capitalisme et j’en passe, mais malheureusement l’intérêt ne va rarement jamais plus loin que la métaphore. Les scénarios sont au mieux très médiocres (oui, j’écris scénarios et pas scenarii, au jour d’aujourd’hui, c’est un mot bel et bien français alors arrêtons avec cette préciosité de vouloir l’écrire à l’italienne, s’il vous plait), les acteurs très souvent nuls – mais à leur décharge difficile de bien jouer des personnages aussi unidimensionnels et auxquels il est impossible de s’attacher –  et le reste du film ne vole en général pas beaucoup plus haut. Bref, les films de zombies partent souvent d’une bonne intention pour presque toujours donner un mauvais film. Dommage.

    C’était donc un peu à reculons que j’ai commencé à regarder The Walking Dead.

    Et là, blam, la grosse claque !!

    Rien à voir avec aucun truc de zombies que j’ai pu voir dans le passé.

    La différence ?

    Tout d’abord le réalisme de la chose (oui je sais ça fait bizarre de mettre les mots réalisme et zombies ensemble) : tout semble vrai, c’est un monde crédible que l’on nous présente, c’est le vrai monde tout simplement.

    L’introduction des zombies ensuite. Justement, on ne la voit pas, et je pense que c’est un élément-clé pour que le spectateur entre totalement dans cet univers. En effet, en temps normal, un film de zombies ça commence comme n’importe quelle journée et soudain les zombies arrivent, plus ou moins sortis de nulle part, et souvent c’est à ce moment-là que je décroche (quoique, bien souvent, je n’étais de toutes façons pas entré dans le film tant cette vie quotidienne et ces personnages que l’on nous présentait étaient inintéressants à la base).

    Là, c’est tout le contraire (je spoile les premières minutes, désolé) : on débute sur deux amis, deux flics, qui vivent leur vie quotidienne de flic, parlent de leurs problèmes conjugaux, et ce genre de choses. Oui bon en fait, la toute première scène introduit les zombies, les scènes suivantes étant des sortes de flashbacks (je trouve malheureusement cette première scène dispensable). Revenons à nos deux flics : une intervention qui tourne mal, l’un des deux se prend une balle qui l’envoie dans le coma.

    Un coma dont il sort un beau jour pour découvrir que l’univers qu’il connait n’est plus là, le monde a été complètement dévasté, c’est l’enfer sur Terre.

    Par cet effet de narration, il n’est plus question d’amener les zombies aux spectateurs, mais bien d’emmener les spectateurs – qui vont suivre Rick Grimes, le flic – aux zombies, et c’est là que réside toute la différence.

    Nous suivons donc Rick dans sa découverte de ce cauchemar éveillé et bien entendu nous rencontrerons d’autres personnages, et c’est là que réside la deuxième force de The Walking Dead : les personnages.

    Car, c’est le moment de le reconnaitre, il ne s’agit pas tant d’une série de zombies que d’une série de personnages qui se retrouvent dans un monde nouveau dans lequel il faut s’adapter, rétablir des règles de société, réévaluer la notion même d’humanité.

    Il y a même des épisodes où l’on voit à peine les zombies, comme pour nous rappeler qu’ils ne sont pas le thème principal de cette histoire, juste un motif, presque le décor.

    Je spoile encore un poil, mais certains spectateurs seront surpris de voir que les morts parmi les humains tarderont à arriver. Là, encore, il ne s’agit pas de massacrer de l’humain juste pour quelques effets de gore (par contre, ne vous inquiétez pas – ou inquiétez-vous selon – du gore il y en aura, énormément, plus que vous n’en avez jamais vu sur un écran de télévision), il s’agit d’établir des personnages, avec une vraie caractérisation, de vraies personnalités, des relations, des tensions entre eux, de sorte que quand les morts arriveront (et croyez-moi, elles arriveront) ce seront des personnages que vous aimerez ou que vous haïrez qui tomberont sous les coups des zombies, pas juste des pantins mal écrits parce que les scénaristes n’ont pas pris le temps de les développer sous prétexte qu’ils allaient bientôt mourir.

    De plus, en regardant cette série, j’ai eu la drôle sensation qu’elle me rappelait Lost sous bien des aspects. Bien entendu, les deux sont très différentes, mais de la même manière que Lost ne parlait pas d’une île mystérieuse, mais bien d’un groupe de personnes se retrouvant sur une île mystérieuse (d’où la déception d’un certain nombre de spectateurs qui regardaient pour de mauvaises raisons), The Walking Dead ne parle pas de zombies, mais d’un groupe de personnes se retrouvant au milieu d’un monde peuplé de zombies. Ce qui est très différent. Depuis, ici ou là sur le web, je suis tombé sur des personnes ayant la même sensation, y compris Daniel Dae Kim. À mon avis c’est un bon signe.

    D’ailleurs ne vous attendez pas non plus à de grandes révélations cruciales sur les zombies, vous pourriez être déçus. Je pense que cette série est et restera surtout basée sur ses personnages, pas sur les quelques mystères qui planent (comme l’origine des zombies). Je doute que ces derniers soient un jour le cœur d’intrigues majeures, et c’est tant mieux.

    Au final, je ne peux que vous la conseiller chaudement sauf si vraiment vous avez trop peur d’avoir peur (j’avoue avoir eu peur plusieurs fois, alors que c’est un sentiment que je n’éprouve que très rarement, surtout en regardant des fictions) en plus, aucune excuse du genre “les séries, il y a trop d’épisodes, ça prend trop de temps à regarder”, la première saison ne compte que six épisodes et la seconde saison n’en fera que 13 (elle sera diffusée à partir de septembre ou octobre.

    Un dernier mot sur le fait que je ne parle pas de la BD et ne compare pas les deux. C’est à dessein. Il n’y a rien qui m’agace plus que les comparaisons systématiques entre un médium et l’autre quand nous avons à faire à une adaptation, surtout que oui, c’est différent, c’est toujours différent, il est impossible que cela ne soit pas différent. Et surtout « différent » n’est pas synonyme de « moins bien. » Donc oui, les deux ont des similitudes et des différences, il y a des choses que je préfère dans la série TV, d’autres dans la BD, mais les comparer est un acte vain, et ici je parle de la série et puis c’est tout.

    Bref, je crois qu’on a enfin trouvé la série qui remplacera Lost dans nos cœurs (en tout cas dans le mien).

     

    (sources photos: AMC)

     


  • Technique pour pirater une place assise

    J’habite à Paris. Je prends, souvent (trop), le métro.

    Je suis habituée :

    • aux gens qui ne se lèvent pas des strapontins quand il y a foule
    • aux gens qui bloquent les sorties
    • aux gens qui écoutent de la musique forte (avec ou sans écouteurs)

    Mais aujourd’hui j’ai vu quelque chose que je n’avais jamais vu avant : la sauvegarde de fauteuil par sac interposé. L’action se déroulent le matin, avant 9h00 sur le Ligne 9, station Strasbourg-St Denis.

    Voici les faits, accompagnés d’un schéma.

    Je suis assise dans un carré, côté couloir. Je me lève pour sortir. Il y a beaucoup de monde, mais à côté de moi il y a un monsieur qui se positionne pour me remplacer sur le fauteuil. Derrière moi, de l’autre côté du fauteuil, il y a une dame. Dès que je me lève, elle jette son sac à main sur la place pour se la réserver !  Elle n’était pas très âgée, ni enceinte. Je suis souvent en faveur de la galanterie mais  je trouve son geste très culotté.

    Pauvre monsieur !

     


  • La Quête du Burger Ultime – épisode 2

    Dans un pub écossais, nous découvrons une ambiance extra et des burgers parfaits pour accompagner une tit’ bière

    Note à mes rares lecteurs : je ne suis pas certaine de toujours utiliser le même format pour vous conter mes aventures en burgerland. Un des buts (secrets) de cette démarche est de progresser en rédaction.

    Un soir de demi-finale de coupe du monde je me suis rendue au Auld Alliance dans le marais pour boire une (deux) bière(s), encourager la mannschaftruc (dommage) et tester leur burger.
    J’étais accompagné par le Gator et son épouse. Ils avaient eu l’intuition géniale de venir s’installer à 19h00 pour nous garantir une table.

    – Le cheese burger est à 10,50 euros.

    Le pub propose une offre incluant le cheeseburger et une Budwar en bouteille (pas Budweiser US) pour 1 euro de plus.
    La bête est servie dans des paniers en plastique comme dans certains diners aux US. Les frites sont des grosses potato chips à l’anglaise.
    La viande était bien grillée. Le pain était du pain commercial de base. Il y avait peu de fixin‘, vous savez tout ce qui fait le complément de la viande et du pain, c’est à dire laitue, tomate, oignon, pickles… En y réfléchissant bien, il me semble qu’il n’y avait pas de pickles.
    En bref, il n’était point un bon gros burger mais un petit burger appréciable.

    publié le 9 juillet 2010 sur les vies de Fyly


  • La quête du Burger Ultime – épisode 1

    Ou comment l’aventure de la recherche du burger ultime a débuté en 2010.

    Note à l’attention des gentils lecteurs : C’est l’épisode 1 en terme de blog mais bien sûr j’ai déjà testé pas mal de burger joints à Paris et j’ai tout de même une idée en tête de qui pourrait gagner le titre grandement désiré de « Burger Ultime… à Paris ».

    Note à l’attention des lecteurs très critiques : Mes avis sont très très subjectifs à tendance naïve avec une pointe de superficialité. Dans la vie j’aime des choses, j’adore des choses, je n’aime pas des choses et rarement je trouve des choses « à ch*** »… je préfère dire « sans intérêt ». J’adore les frites, j’aime les courgettes et je trouve les petits poids sans intérêt… 🙂

    Note pour les lecteurs curieux : je déguste mes burgers à point/ »well done » pour ne pas qu’il y est trop de jus qui détruirait le pain.
    • Lieu : Pub St Germain
    • Side kick : l’Ange charmeur
    • Circonstance : après 2 cocktails au « Prescription ». Recommandation de  la serveuse danoise
    • Horaire : 23:15
    • Dégustation : Première impression sur la carte : c’est un burger cher mais nous étions prévenus. Première bouchée : la viande est vraiment excellente …je me demande si la viande est mélangée avec… de l’échalote ? J’en déduis que c’est un bon burger, il est tard je n’arrive pas à le finir.
    • Le pain est bien mais pas extraordinaire. Il a l’avantage de ne pas être trop gros et rends donc la bête plus facile à dévorer.
    • Conclusions : J’adore. Est-il meilleurs que d’autre ? Pas sure, mais il est dans un top 5.
    •  Son prix à 18€ lui fait forcément perdre des points…
    publié le 8 juillet 2010 sur Les vies de Fyly